Catalogue Tous les ouvrages
Christian Spitz
Questions d'adolescents
« Allô, Doc ? » Ils ont été des milliers à prendre la parole à l’antenne de Fun Radio, des milliers à attendre les réponses de Christian Spitz, le médecin qui animait l’émission « Lovin’fun », véritable phénomène de société.
Bernard Ésambert
Pompidou, capitaine d'industries
Ce sont ces « années Pompidou », décisives pour la modernisation de la France, que raconte Bernard Esambert, qui fut l'un de ses collaborateurs à l'Élysée.
Édouard Zarifian
Des paradis plein la tête
La souffrance psychique est plus répandue qu’on ne le croit, le fonctionnement de nos société conduit à une véritable « médicalisation » des difficultés de l’existence. La psychiatrie pourrait devenir un instrument de contrôle social sur les individus.
Lucien Sève
Pour une critique de la raison bioéthique
Lucien Sève nous entraîne dans un vaste périple à travers les questions posées par la biomédecine et les problèmes de société qu’elles recouvrent – progrès de la science, rôle de l’argent.
Robert Barbault
Des baleines, des bactéries et des hommes
L’homme risque de briser les écosystèmes les plus précieux. Peut-il raisonnablement penser se développer au détriment du monde vivant ? Ne vaut-il pas mieux instaurer un autre rapport à la nature, fait de respect pour le vivant ?
Claude Humeau, Françoise Arnal
Les Médecines de procréation
En s’appuyant sur leur expérience quotidienne, Claude Humeau et Françoise Arnal nous aident à comprendre les nouvelles techniques de procréation et retracent le parcours des couples qui ont choisi de recourir à ces pratiques.
Tobie Nathan
L'influence qui guérit
Lorsqu’il s’agit de soigner des malades venus d’Afrique, du Maghreb, des Antilles, les « guérisseurs », malgré l’irrationalité de leurs pratiques, sont bien plus efficaces que les médecins armés de leurs médicaments et de leur « science ».
Manès Sperber
Être juif
Manès Sperber apprit à lire la Bible à l’âge de trois ans et ne cessa de la relire jusqu’à la fin de sa vie. Ni religieux, ni militant sioniste, ni apôtre d’un quelconque judaïsme culturel, il professait pour seule foi la « religion de la bonne mémoire ».