Philosophie Tous les ouvrages
Patrick Errard
La Philosophie au secours du management
Pour devenir un bon manager, il faut avoir fait le deuil d’une certaine forme d’ego. En quoi la philosophie peut-elle nous y aider ?
Marc Crépon
La Vocation de l’écriture La littérature et la philosophie à l’épreuve de la violence
Il y a dans la violence que doivent aujourd’hui affronter nos sociétés une dimension propre à la langue. C’est cette dimension propre au langage que se propose d’explorer le philosophe Marc Crépon, convaincu que le nœud de toute violence tient d’abord dans la langue et l’usage que nous en avons.
Daniel Sibony
Fantasmes d’artistes
Daniel Sibony montre comment l’artiste taille dans l’imaginaire de quoi creuser plus avant dans la matière humaine de nouvelles réalités, à la recherche d’un objet inconnu ou perdu – qui devient cette recherche elle-même.
Roger-Pol Droit
Si je n’avais plus qu’une heure à vivre
Roger-Pol Droit propose ici un exercice radical, décisif, qui vaut toutes les leçons de philosophie et de sagesse.
Dominique Schnapper
Travailler et aimer Mémoires
Pour la première fois Dominique Schnapper se confie. Elle nous parle d’elle, de son père Raymond Aron, de son mari, l’historien d’art Antoine Schnapper. Elle évoque son métier de sociologue...
Yves Christen
L’animal est-il un philosophe ? Poussins kantiens et bonobos aristotéliciens
Parce que les animaux, humains ou non humains, ne sont pas les jouets passifs du monde qui les entoure et qu’ils en sont au contraire les créateurs actifs, parce qu’ils sont porteurs d’une vision du monde, je les considère comme des philosophes. Y. C.
Jean-Pierre Changeux
La Vie des formes et les formes de la vie
« Toute activité se laisse discerner et définir dans la mesure où elle prend forme, où elle inscrit sa courbe dans l’espace et le temps. La vie agit essentiellement comme créatrice de formes. La vie est forme, et la forme est le mode de la vie » (Henri Focillon).
Luc Ferry
De l'amour Une philosophie pour le XXIe siècle
Il ne s’agit plus d’organiser de grands massacres au nom de principes mortifères qui se voulaient extérieurs et supérieurs à l’humanité, mais de préparer l’avenir de ceux que nous aimons le plus, c’est-à-dire des générations futures. » L. F.