Philosophie Tous les ouvrages
Patrice Debré
Les Révolutions de la biologie et la condition humaine
Des cellules souches à l’épigénome, des thérapies géniques aux transplantations du microbiote, des interfaces cerveau-machine à l’application de l’intelligence artificielle en matière de santé, Patrice Debré dresse une fresque fascinante des perspectives de la transformation possible d’Homo sapiens.
Marc Crépon
Inhumaines conditions Combattre l'intolérable
Comment alors faire reculer la violence ? D’abord en l’exposant partout où elle se manifeste, en la rendant visible autour de nous, dit le philosophe Marc Crépon : dans le monde du travail, de la justice, dans notre relation à nos proches ou aux animaux…
Gilles Gaston Granger
Pour la connaissance philosophique
Deux tentations opposées sont ici dénoncées. L’une porte à présenter la philosophie comme une sorte de science éminente et dogmatique ; l’autre à la confondre avec l’exposé poétique et passionné de quelques états d’âme.
François Lelord
Victor et les autres mondes Conte philosophique
La civilisation terrienne s’est-elle vraiment éteinte après l’Apocalypse nucléaire et écologique ?
Élisa Brune, Paul Qwest
Nos vies comme événement Ce que l'art et la science transforment en nous
Considérer nos vies comme événement, c’est s’offrir la faculté de revoir profondément et de réenvisager aussi nos relations avec nous-même, avec les autres et le monde. Une merveille.
Christian Delacampagne
De l'indifférence Essai sur la banalisation du bien et du mal
Le XXe siècle a introduit ce mal absolu qu’est le génocide. Il a aussi inventé une pratique, plus insidieuse, destinée à nous permettre de nous en accommoder : elle consiste à banaliser le mal, en le relativisant ou en galvaudant les mots qui servent à le désigner.
Philippe Desan
Montaigne Penser le social
Faire découvrir en Montaigne un penseur de la vie en société, de ses contraintes et de ses libertés : telle est l’ambition, originale et audacieuse, de l’ouvrage de Philippe Desan.
Jean-Claude Carrière
La Vallée du Néant
Nous en venons et nous y retournons. Pourtant, nous ne pouvons rien en dire. Le néant – qui n’est ni le rien, ni le vide – reste l’inconnu fondamental, le non-être, sans sensation, sans conscience et sans mémoire.