Éthologie Tous les ouvrages
Gilles Tétart
Le Sang des fleurs Une anthropologie de l’abeille et du miel
« [...] Gilles Tétart montre dans ce livre foisonnant comment le mythe du miel enseigne que la désexualisation est nécessaire pour accéder à l’incorruptibilité et à l’immortalité par soi-même et non par une descendance. » Françoise Héritier
Cédric Sueur
Les Péripéties d'un primatologue
Primatologue, c’est un métier d’aventurier. Ce livre nous met face à face avec les singes, au cœur de leur vie sociale à l’ombre des forêts...
Serge Stoléru
Un cerveau nommé désir Sexe, amour et neurosciences
Après plus de vingt ans de recherches, l'auteur dévoile les mystères de notre cerveau aimant et désirant, et nous permet de mieux comprendre le désir, ses mécanismes, mais aussi certains troubles de la sexualité et, par là même, d’envisager de nouvelles approches thérapeutiques.
Rolf Schäppi
La femme est le propre de l'homme De l’éthologie animale à la nature humaine
Rolf Schäppi s’appuie sur les données les plus récentes de la biologie du comportement et de l’anthropologie évolutionniste. Il jette les bases d’une psychologie évolutionniste qui aide à mieux comprendre les différences entre les sexes.
Alexis Rosenbaum
Dominants et dominés chez les animaux
Pourquoi y a-t-il dans le monde animal des hiérarchies ? Les animaux se dominent-ils seulement par la force physique ou des facteurs psychologiques entrent-ils en jeu ?
Anna Rasa
La Famille idéale Vie sociale des mangoustes
Un « chef-d’œuvre d’observation, d’analyse et de description », par une éthologue formée par Konrad Lorenz.
Ann Premack, David Premack
Le Bébé, le Singe et l'Homme
Qu’est-ce qui distingue fondamentalement le singe du bébé et de l’homme ? David et Ann Premack sont mondialement connus pour avoir appris le langage des signes à leur chimpanzé Sarah.
Emmanuelle Pouydebat
L'Intelligence animale Cervelle d'oiseaux et mémoire d'éléphants
Emmanuelle Pouydebat montre que l’intelligence est une fonction adaptative partagée par tous les animaux. Elle permet de répondre le mieux possible aux contraintes du milieu et du contexte, que l’on ait des plumes, des mains, une trompe, dix pieds, des écailles, de la fourrure, des tentacules, un squelette ou pas…