Sciences humaines Tous les ouvrages
Didier Houssin
Soignons la Science !
Belle, joyeuse, universelle, surpuissante… » : telle est la science aujourd’hui, selon Didier Houssin. Et de souligner, exemples à l’appui, que la science n’avait jamais atteint une telle puissance,– par ses outils de mesure, la masse de ses données, les sommes mobilisées. Faut-il s’en réjouir ou le déplorer ?
Philippe Moati
La Société malade de l’hyperconsommation
Analysant finement les divers mécanismes de l’hyperconsommation, Philippe Moati montre en quoi ils minent le lien social et fragilisent les personnes, créant un appel d’air pour un retour en force des fondamentalismes de toute nature.
Jean-François Amadieu
La Société du paraître Les beaux, les jeunes… et les autres
Jean-François Amadieu explore un nouveau volet de cet impérialisme du paraître dans nos sociétés, en s’appuyant sur des enquêtes inédites concernant notamment les réseaux sociaux, le monde du travail, la politique ou la télévision.
Alain Ehrenberg
La Société du malaise
L’émancipation des mœurs, les transformations de l’entreprise et celles du capitalisme semblent affaiblir les liens sociaux ; l’individu doit de plus en plus compter sur sa « personnalité ». Il s’ensuit de nouvelles souffrances psychiques.
Robert Rochefort
La Société des consommateurs
Non, la société de consommation n’est pas morte, et elle accentue encore son emprise sur nos modes de vie. Les nouveaux marchés porteurs sont ceux qui peuvent rassurer les individus : la santé, l’écologie, le terroir, la famille, et même la solidarité.
Alain Peyrefitte
La Société de confiance
Le développement en Europe trouve sa source dans ce que Alain Peyrefitte appelle un « éthos de confiance » -disposition d’esprit qui a bousculé des tabous traditionnels et favorisé l’innovation, la mobilité, la compétition, l’initiative rationnelle et responsable.
François Ascher
La société évolue, la politique aussi
Pourquoi les structures semblent-elles inefficaces, loin des réalités ? Pourquoi, face aux problèmes de chacun, a-t-on le sentiment d’une incompréhension ? Est-ce la fin de la politique ? Pour François Ascher, certainement pas.