Sciences humaines Tous les ouvrages
Élie Cohen
Souveraineté industrielle Vers un nouveau modèle productif
Quel modèle productif se dessine pour la France d’aujourd’hui ? Et avec quelle gouvernance ?
David Lepoutre, Isabelle Cannoodt
Souvenirs de familles immigrées
Des familles populaires immigrées, on ignore souvent tout de leur rapport au passé. David Lepoutre analyse ici le rapport au passé familial en fonction des contextes historiques de migration, des appartenances sociales et des origines culturelles.
Alain Mercuel
Souffrance psychique des sans-abri Vivre ou survivre
Un témoignage salutaire pour changer le regard, comprendre les enjeux du soin psychique dans la rue et repenser un lien qu’on peut tisser même avec les plus cassés, les plus exclus, les plus fragilisés par leurs troubles.
Claude Hagège
Le Souffle de la langue Voies et destins des parlers d’Europe
« (...) L’Européen devra élever ses fils et ses filles dans la variété des langues et non dans l’unité. Tel est à la fois l’appel du passé et celui de l’avenir. » C. H.
Pierre-André Taguieff
Sortir de l'antisémitisme ? Le philosémitisme en question
« Peut-on sortir de l’antisémitisme ? Et comment ? » Cette question conduit Pierre-André Taguieff à s’interroger sur le philosémitisme, qui désigne originellement, dans les rapports entre chrétiens et Juifs, le passage du mépris hostile au respect et à l’estime.
Marcel Otte
Sommes-nous si différents des hommes préhistoriques ?
Voici un livre qui retrace la formidable histoire de l’humanité depuis 4 millions d’années...
Alain Supiot
La Solidarité Enquête sur un principe juridique
La question se pose de savoir si la solidarité est le témoin provisoire d’un ordre juridique condamné à disparaître ou bien l’un des ferments de sa recomposition. L’enquête conduite dans ce livre vise à y répondre.
Colette Chiland
Sois sage, ô ma douleur Réflexions sur la condition humaine
Nul n’échappe à la condition humaine : vieillir, être malade, mourir, souffrir d’être séparé de ceux qu’on aime. L’être humain est soumis à la nature qu’il ne parvient pas à contrôler complètement ; il est dépendant de la société dans laquelle il vit.
Didier Houssin
Soignons la Science !
Belle, joyeuse, universelle, surpuissante… » : telle est la science aujourd’hui, selon Didier Houssin. Et de souligner, exemples à l’appui, que la science n’avait jamais atteint une telle puissance,– par ses outils de mesure, la masse de ses données, les sommes mobilisées. Faut-il s’en réjouir ou le déplorer ?
Philippe Moati
La Société malade de l’hyperconsommation
Analysant finement les divers mécanismes de l’hyperconsommation, Philippe Moati montre en quoi ils minent le lien social et fragilisent les personnes, créant un appel d’air pour un retour en force des fondamentalismes de toute nature.
Jean-François Amadieu
La Société du paraître Les beaux, les jeunes… et les autres
Jean-François Amadieu explore un nouveau volet de cet impérialisme du paraître dans nos sociétés, en s’appuyant sur des enquêtes inédites concernant notamment les réseaux sociaux, le monde du travail, la politique ou la télévision.
Alain Ehrenberg
La Société du malaise
L’émancipation des mœurs, les transformations de l’entreprise et celles du capitalisme semblent affaiblir les liens sociaux ; l’individu doit de plus en plus compter sur sa « personnalité ». Il s’ensuit de nouvelles souffrances psychiques.
Robert Rochefort
La Société des consommateurs
Non, la société de consommation n’est pas morte, et elle accentue encore son emprise sur nos modes de vie. Les nouveaux marchés porteurs sont ceux qui peuvent rassurer les individus : la santé, l’écologie, le terroir, la famille, et même la solidarité.
Alain Peyrefitte
La Société de confiance
Le développement en Europe trouve sa source dans ce que Alain Peyrefitte appelle un « éthos de confiance » -disposition d’esprit qui a bousculé des tabous traditionnels et favorisé l’innovation, la mobilité, la compétition, l’initiative rationnelle et responsable.
François Ascher
La société évolue, la politique aussi
Pourquoi les structures semblent-elles inefficaces, loin des réalités ? Pourquoi, face aux problèmes de chacun, a-t-on le sentiment d’une incompréhension ? Est-ce la fin de la politique ? Pour François Ascher, certainement pas.