Résilience Tous les ouvrages
Boris Cyrulnik
Le Laboureur et les Mangeurs de vent Liberté intérieure et confortable servitude
« À 7 ans, j’ai été condamné à mort pour un crime que j’ignorais. Ce n’était pas une fantaisie d’enfant qui joue à imaginer le monde, c’était une bien réelle condamnation. » B. C.
Boris Cyrulnik
La nuit, j'écrirai des soleils
Où Boris Cyrulnik convoque les déchirures d’écrivains célèbres, les conjugue à l’aune de ses propres souffrances pour mieux convaincre chacun de nous des bienfaits de l’imaginaire, de la puissance du rêve, des pouvoirs de guérison que recèle l’écriture.
Boris Cyrulnik
Des âmes et des saisons Psycho-écologie
« L’impact du milieu n’a pas le même effet sur un bébé, sur un adulte, selon la construction physique et mentale de chacun. Ce que nous sommes aujourd’hui n’est pas ce que nous serons demain, marqués, expérimentés et souvent blessés par l’existence. [...] » B. C.
Boris Cyrulnik
Les âmes blessées
Cinquante ans d’aventure psychiatrique m’ont donné des moments de bonheur, quelques épreuves difficiles, le sentiment d’avoir été utile et le bilan de quelques méprises. Mon goût pour cette spécialité est un aveu autobiographique...
Boris Cyrulnik
De chair et d'âme
Ce livre fonde une nouvelle biologie de l’attachement. Il explique pourquoi, pour chacun d’entre nous, la vie est une conquête permanente, jamais fixée d’avance. Ni nos gènes ni notre milieu d’origine ne nous interdisent d’évoluer. Tout reste possible.
Boris Cyrulnik
Autobiographie d'un épouvantail
« La fabrication d’un récit de soi remplit le vide de nos origines qui troublait notre identité. On bricole une image, on donne cohérence aux événements, on répare une injuste blessure. Un récit n’est pas le retour au passé, c’est une réconciliation. » B. C.
Boris Cyrulnik
Les Nourritures affectives
Boris Cyrulnik examine, depuis le stade fœtal jusqu’à la vieillesse, les pathologies affectives à l’origine des maux les plus flagrants de nos sociétés : violence, racisme, délinquance, agressions sexuelles, etc.
Boris Cyrulnik
Le Murmure des fantômes
Marilyn Monroe n'a pas connu la tendresse, enfant. Elle est devenue fantôme. Hans Christian Andersen, lui, a pu être réchauffé. L'affection est un besoin tellement vital...