Résilience Tous les ouvrages
Boris Cyrulnik
Les âmes blessées
Cinquante ans d’aventure psychiatrique m’ont donné des moments de bonheur, quelques épreuves difficiles, le sentiment d’avoir été utile et le bilan de quelques méprises. Mon goût pour cette spécialité est un aveu autobiographique...
Boris Cyrulnik
Des âmes et des saisons Psycho-écologie
« L’impact du milieu n’a pas le même effet sur un bébé, sur un adulte, selon la construction physique et mentale de chacun. Ce que nous sommes aujourd’hui n’est pas ce que nous serons demain, marqués, expérimentés et souvent blessés par l’existence. [...] » B. C.
Boris Cyrulnik
Les Nourritures affectives
Boris Cyrulnik examine, depuis le stade fœtal jusqu’à la vieillesse, les pathologies affectives à l’origine des maux les plus flagrants de nos sociétés : violence, racisme, délinquance, agressions sexuelles, etc.
Boris Cyrulnik
Parler d'amour au bord du gouffre
Boris Cyrulnik démontre que même ceux qui ont de graves blessures affectives peuvent les transformer en grand bonheur. Il montre comment on s’engage dans le couple avec son histoire et son style affectif, ses blessures et ses victoires.
Boris Cyrulnik
Autobiographie d'un épouvantail
« La fabrication d’un récit de soi remplit le vide de nos origines qui troublait notre identité. On bricole une image, on donne cohérence aux événements, on répare une injuste blessure. Un récit n’est pas le retour au passé, c’est une réconciliation. » B. C.
Boris Cyrulnik
Sauve-toi, la vie t’appelle
Une histoire poignante, hors du commun, qui retentit profondément en chacun d’entre nous.
Boris Cyrulnik
Ivres paradis, bonheurs héroïques
Chacun de nous a besoin de héros pour vivre, l’enfant pour se construire, l’adulte pour se réparer. Les héros nous apportent l’espoir, le rêve, la force. Attention cependant aux faux héros, attiseurs de violence et de haine, pourvoyeurs du pire. Un livre saisissant.
Boris Cyrulnik
Le Laboureur et les Mangeurs de vent Liberté intérieure et confortable servitude
« À 7 ans, j’ai été condamné à mort pour un crime que j’ignorais. Ce n’était pas une fantaisie d’enfant qui joue à imaginer le monde, c’était une bien réelle condamnation. » B. C.