Résilience Tous les ouvrages
Boris Cyrulnik
Quand un enfant se donne « la mort »
« Jusqu’à présent, personne n’avait osé aborder, voire effleurer cette triste réalité du suicide des enfants, préférant souvent la nier en la dissimulant au travers de jeux dits dangereux.
Marie Anaut, Boris Cyrulnik
Résilience. De la recherche à la pratique
La définition de la résilience est simple et largement acceptée, mais ce qui est plus difficile à découvrir, ce sont les conditions qui permettent la reprise d’un nouveau développement après un traumatisme.
Boris Cyrulnik, Boualem Sansal
France-Algérie Résilience et réconciliation en Méditerranée
Qui mieux que Boris Cyrulnik et Boualem Sansal aurait pu écrire ce livre à deux voix ? Ils nous invitent à redécouvrir l’Algérie et les Algériens,la façon dont ils ont fabriqué leurs héros, conquis leur indépendance.
Boris Cyrulnik
Le Murmure des fantômes
Marilyn Monroe n'a pas connu la tendresse, enfant. Elle est devenue fantôme. Hans Christian Andersen, lui, a pu être réchauffé. L'affection est un besoin tellement vital...
Boris Cyrulnik, Jean-Pierre Pourtois
École et Résilience
Dans ce collectif, des psychologues de l’éducation développent une idée exposée par Boris Cyrulnik dans Parler d’amour au bord du gouffre : que l’école peut être ce tuteur de résilience.
Boris Cyrulnik, Gérard Jorland
Résilience connaissances de base
La résilience a-t-elle des limites ? En quoi la théorie de la résilience introduit-elle, pour chacun de nous, de nouveaux degrés de liberté ?
Boris Cyrulnik
Les âmes blessées
Cinquante ans d’aventure psychiatrique m’ont donné des moments de bonheur, quelques épreuves difficiles, le sentiment d’avoir été utile et le bilan de quelques méprises. Mon goût pour cette spécialité est un aveu autobiographique...
Boris Cyrulnik
Des âmes et des saisons Psycho-écologie
« L’impact du milieu n’a pas le même effet sur un bébé, sur un adulte, selon la construction physique et mentale de chacun. Ce que nous sommes aujourd’hui n’est pas ce que nous serons demain, marqués, expérimentés et souvent blessés par l’existence. [...] » B. C.