Psychanalyse Tous les ouvrages
Claude Olievenstein
Le Non-dit des émotions
Au-delà de la psychanalyse et des sciences humaines, Claude Olievenstein explore le territoire où, de la vie quotidienne aux grandes mythologies, s'inscrit le va-et-vient incessant entre la conscience et l'inconscient.
Boris Cyrulnik
Quand un enfant se donne « la mort »
« Jusqu’à présent, personne n’avait osé aborder, voire effleurer cette triste réalité du suicide des enfants, préférant souvent la nier en la dissimulant au travers de jeux dits dangereux.
Alain Braconnier
Les Filles et les Pères
« Ce livre est issu de tout ce que les filles qui se sont confiées à moi m’ont raconté sur leur père, à moi qui suis un homme, mais aussi un thérapeute et qui joue, pour cette raison, un rôle particulier. [...] » (A. B.)
Ginette Raimbault, Caroline Eliacheff
Les Indomptables Figures de l’anorexie
Sissi impératrice d’Autriche, l’Antigone de Sophocle, Simone Weil la philosophe et sainte Catherine de Sienne : quoi de commun entre ces femmes ? L’anorexie.
Patrick Bellet
L'Hypnose
Depuis sa découverte, l’hypnose suscite fascination et défiance. Ce livre propose une exploration de l’hypnose contemporaine, de ses mécanismes, de sa pratique et de son éthique. Pour une nouvelle compréhension de l’homme et de la médecine.
Boris Cyrulnik
Parler d'amour au bord du gouffre
Boris Cyrulnik démontre que même ceux qui ont de graves blessures affectives peuvent les transformer en grand bonheur. Il montre comment on s’engage dans le couple avec son histoire et son style affectif, ses blessures et ses victoires.
Catherine Clément, Tobie Nathan
Le Divan et le Grigri
Tobie Nathan utilise l’ethnopsychiatrie pour soigner les migrants. « Tobie Nathan ose préconiser des amulettes, prescrire des sacrifices… Sorcier, gourou, imposteur, IMPOSTEUR ! » Voilà ce qui décida Catherine Clément à y regarder de plus près.
Alain Braconnier
Mère et Fils
« [...] l’amour d’une mère pour son fils est non seulement une nécessité mais une condition de son bon équilibre et de sa réussite d’homme. Parce que les mères aimantes et fortes permettent à leurs garçons de devenir à la fois forts et sensibles. » A. B.