« Courir le marathon. Nourrir le fantasme de se faire violer. Manger un plat très épicé dans un restaurant indien. Rédiger une thèse universitaire. Se sentir toujours écrasé par la volonté d’autrui. Se faire piétiner allégrement la poitrine par une femme en talons aiguilles. [...] »
Nietzsche était maniaco-dépressif. Telle est la conclusion à laquelle le professeur Jacques Rogé, est parvenu en lisant l’œuvre du philosophe. À la lumière de ce constat, il dévoile le rôle essentiel que cette maladie joua dans l’explosion du génie.