Les plantes sont indispensables à notre survie, mais leur connaissance est longtemps restée empirique. Au recensement des quelque 400 000 espèces ont succédé la physiologie végétale puis la génomique, il y a quelques dizaines d’années...
Nous ne doutons plus aujourd’hui de notre dépendance aux arbres. Mais nous ne mesurons peut-être pas assez combien nous sommes aussi dépendants de leur présence et de leur beauté.