La question de la traduction automatique s’est posée dès la naissance de l’informatique mais la complexité du langage déroute les algorithmes pleinement rationnels de nos ordinateurs.
Le fantasme de la machine qui sait tout a de beaux jours devant lui, même si les progrès de l’IA posent avec toujours plus d’acuité la lancinante question de savoir si une véritable intelligence peut être produite par des circuits de silicium.
Fonctions naturelles de l’espèce humaine, la langue et le langage ont cette particularité, à la différence des battements du cœur, de pouvoir subir l’action volontaire de l’individu.