La France, pays le plus nucléarisé au monde, manifeste à l’égard de l’atome un étrange paradoxe. Tout en frémissant d’horreur à l’évocation de la bombe et des problèmes écologiques posés par l’industrie nucléaire, elle accorde un large consensus au nucléaire civil et militaire. Où trouver les racines de cette attitude ?