« Nous ne prétendons nullement dans ce livre renverser le cours des choses. Nous espérons seulement, en proposant quelques expériences de sorcellerie banales, montrer comment un certain nombre de sorciers modernes abusent le pauvre monde ! [...] »
Les démons de l’art roman demeuraient aux portes de l’enfer et attendaient, goguenards, la mort des pécheurs. Soudain, entre 1260 et 1350, ils firent irruption, plus redoutables, dans les sociétés humaines. Pour initier les humains à une magie sinistre.