Au lendemain de l’armistice du 11 novembre 1918, toute la France honora ses morts et glorifia ses héros. Mais, si les blessés physiques furent reconnus, soignés et pensionnés, qu’en fut-il de ceux qui en avaient été « quittes pour la peur » ?
Thomas Salmon fut un médecin visionnaire, précurseur de l’idée de trouble post-traumatique et de la prise en charge des névroses de guerre et du stress.