Résultat pour le mot clé résilience
Boris Cyrulnik
Les âmes blessées
Cinquante ans d’aventure psychiatrique m’ont donné des moments de bonheur, quelques épreuves difficiles, le sentiment d’avoir été utile et le bilan de quelques méprises. Mon goût pour cette spécialité est un aveu autobiographique...
Jean-Pierre Pourtois, Huguette Desmet
Au cœur de la résilience Quinze approches conceptuelles
Qu’est-ce que la résilience ? Comment accompagner les personnes ayant subi un traumatisme ? Jean-Pierre Pourtois et Huguette Desmet font le point...
Boris Cyrulnik
Autobiographie d'un épouvantail
« La fabrication d’un récit de soi remplit le vide de nos origines qui troublait notre identité. On bricole une image, on donne cohérence aux événements, on répare une injuste blessure. Un récit n’est pas le retour au passé, c’est une réconciliation. » B. C.
Boris Cyrulnik
De chair et d'âme
Ce livre fonde une nouvelle biologie de l’attachement. Il explique pourquoi, pour chacun d’entre nous, la vie est une conquête permanente, jamais fixée d’avance. Ni nos gènes ni notre milieu d’origine ne nous interdisent d’évoluer. Tout reste possible.
Olivier Hamant
De l'incohérence Philosophie politique de la robustesse
Olivier Hamant propose dans ce nouveau livre une philosophie politique inspirée du vivant pour répondre aux bouleversements contemporains.
Boris Cyrulnik
Des âmes et des saisons Psycho-écologie
« L’impact du milieu n’a pas le même effet sur un bébé, sur un adulte, selon la construction physique et mentale de chacun. Ce que nous sommes aujourd’hui n’est pas ce que nous serons demain, marqués, expérimentés et souvent blessés par l’existence. [...] » B. C.
Boris Cyrulnik, Jean-Pierre Pourtois
École et Résilience
Dans ce collectif, des psychologues de l’éducation développent une idée exposée par Boris Cyrulnik dans Parler d’amour au bord du gouffre : que l’école peut être ce tuteur de résilience.
Nathalie Zajde
Les Enfants cachés en France
Ce livre montre qu’il est possible de surmonter les événements traumatiques vécus dans l’enfance à condition d’y puiser une force particulière et d’accepter de se penser dans sa singularité, à condition de ne pas faire comme si cela n’avait pas été.