Aujourd’hui, si un pilote d’avion nous annonçait avant de décoller que seuls 97 % des passagers arriveront à bon port, on ne prendrait pas ce vol. En médecine, ce pourcentage est beaucoup plus faible, et on y va quand même ! Or la sécurité des malades et leur accompagnement peuvent être grandement renforcés par le développement et la systématisation de la simulation médicale.