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Jean-Claude Carrière
Ateliers
Depuis plus de soixante ans, j’écris pour le cinéma et le théâtre. À chaque pas, j’ai rencontré des difficultés, de toute nature, et même des obstacles qui paraissaient parfois insurmontables. J’essaie de raconter ici, sous une forme simple, comment je les ai, ou ne les ai pas, résolus.
Antoine Compagnon, Serge Haroche
Autour de 1914-1918 : nouvelles figures de la pensée Sciences, arts et lettres (Colloque 2014)
La Grande Guerre nous apparaît comme un moment de profonde rupture non seulement historique et géopolitique, mais aussi épistémologique et même civilisationnelle. Nos façons de comprendre le monde, de le voir, de le penser, ont été transformées autour de ces années-là.
Claude de Calan, Pierre Etaix
Le Clown et le Savant
« L’un de nous s’efforce de faire naître le rire, l’autre essaie de contribuer à l’avancement de la physique mathématique. Rien ne devait nous réunir, mais le hasard malicieux le voulut autrement. [...] » C. de C. et P. E.
Anouk Grinberg
Dans le cerveau des comédiens Rencontres avec des acteurs et des scientifiques
« Je joue depuis quarante ans, me suis appelée de beaucoup de noms, me suis retrouvée dans la peau d’une mystique, d’une tortue, d’une vieille femme, d’amoureuses, d’un tyran…[...] A. G.
Élie Hantouche, Nathalie Faucheux
Le Journal de Léa Cinéma, TOC et trouble bipolaire
« Je m’appelle Léa. Mes angoisses et mes pensées intrusives, c’est comme des décharges électriques qui me paralysent de terreur.[...] Le seul moyen que j’ai trouvé pour les apaiser, c’est de regarder des films, d’y puiser des solutions. »
Christophe Paradas
Les Mystères de l’art Esthétique et psychanalyse
Chez Freud le premier, la réflexion sur l’art et ses créations a joué un rôle important dans l’élaboration de la théorie psychanalytique, grâce à maints exemples. La psychanalyse de l’art ou encore la « critique psychanalytique » ont par la suite parfois dévié.
Sylvie Lindeperg
Nuit et Brouillard Un film dans l’histoire
« C’est par le cinéma que je sus que le pire venait juste d’avoir lieu », écrivait le critique Serge Daney. Plus précisément, grâce à Nuit et Brouillard, le film d’Alain Resnais sorti en 1956.
Alessandro Pignocchi
Pourquoi aime-t-on un film ? Quand les sciences cognitives discutent des goûts et des couleurs
Sans jargon ni pédantisme, une explication originale de nos réactions souvent passionnées face à un film, quel qu’il soit.