Du bureau ovale de la Maison Blanche au Kremlin, des rues d’Alger à l’Élysée, Bernard Besson nous plonge dans l’œil du cyclone, là où se noue le destin du siècle et où se tissent les guerres de pouvoir, là où l’inconscience, le cynisme, la fièvre et le crime entraînent les hommes et les nations.
« Depuis longtemps, je m’étais éloigné de la Grande Guerre. Et puis le politique a fini par me ramener vers elle, en deux occasions qui furent l’une et l’autre deux crises majeures traversées par la collectivité nationale. [...]» S. A.-R.