Histoire et Géopolitique Tous les ouvrages
Robert Darnton
Dernière danse sur le mur Berlin : 1989-1990
Robert Darnton était en Allemagne au moment où s’écroulaient les contours de l’Europe d’après guerre. Soudain, l’universitaire découvre l’Histoire qui se fait, la part vécue de drame et de fête qui accompagne toute révolution.
Robert Darnton
Gens de lettres, Gens du livre
Derrière la vie littéraire du XVIIIe siècle se cache une vaste comédie humaine dont Robert Darnton met ici en scène les éléments les plus pittoresques.
Henri Danon-Boileau
Journal de guerre d’un obstiné
Au moment de la capitulation de juin 1940, Henri Danon-Boileau n’a qu’une idée fixe : gagner l’Angleterre et se battre.
Jean Daniel
La Guerre et la Paix Israël-Palestine (Chroniques 1956-2003)
Un recueil de toutes les chroniques, réflexions, et de tous les éditoriaux, entretiens, commentaires et portraits que Jean Daniel a consacrés pendant une vie au conflit israélo-palestinien.
Boris Cyrulnik, José Lenzini
Chérif Mécheri Préfet courage sous le gouvernement de Vichy
Qu’est-ce qui fait que, sous l’Occupation, certains hauts fonctionnaires ont non seulement servi le régime de Vichy...
Boris Cyrulnik, Boualem Sansal
France-Algérie Résilience et réconciliation en Méditerranée
Qui mieux que Boris Cyrulnik et Boualem Sansal aurait pu écrire ce livre à deux voix ? Ils nous invitent à redécouvrir l’Algérie et les Algériens,la façon dont ils ont fabriqué leurs héros, conquis leur indépendance.
Denis Crouzet
Charles Quint Empereur d’une fin des temps
C’est un portrait inattendu de l’Empereur que dresse ici Denis Crouzet : rêvant d’une monarchie chrétienne universelle, Charles Quint est déchiré entre son désir de paix et les devoirs de gloire que lui imposent son rang et son sang. De 1545 à 1552, ce souverain à la puissance inégalée voit s’effondrer le monde et s’ouvrir des temps de violence et de peurs.
Louis Crocq
Les Blessés psychiques de la Grande Guerre
Au lendemain de l’armistice du 11 novembre 1918, toute la France honora ses morts et glorifia ses héros. Mais, si les blessés physiques furent reconnus, soignés et pensionnés, qu’en fut-il de ceux qui en avaient été « quittes pour la peur » ?