Livres politiques Tous les ouvrages
Martine Aubry, 50 chercheurs et citoyens
Pour changer de civilisation
La prochaine gauche s’avance, une gauche forte de ses valeurs et forte d’un projet pour changer de civilisation. » M. A.
Michel Rocard
Le Cœur à l'ouvrage
Le Coeur à l'ouvrage, c'est à la fois l'évocation de l'itinéraire hors du commun d'un intellectuel engagé, l'analyse fouillée des questions économiques, sociales, culturelles qui se posent à la France d'aujourd'hui, etun ensemble de propositions en vue de définir les nouvelles règles du jeu politique.
Roger-Gérard Schwartzenberg
La Politique mensonge
La politique deviendrait-elle une forme du mensonge ? Un exercice d’artifice et d’illusion pour disciples de Machiavel à l’écart de la réalité et de la vérité. La confiance dans la démocratie ne renaîtra qu’avec la politique vérité.
Philippe Delmas
De la prochaine guerre avec l'Allemagne
Pour la première fois, les mêmes événements suscitent dans les deux pays les mêmes incertitudes et la même nécessité de s’inventer un destin. Le plus grand risque pour la France serait d’y renoncer et de vouloir ressembler à son passé.
Bernard Kouchner
Le Malheur des autres
« Les médecins français ont inventé le devoir d’ingérence. Parce qu’ils jugeaient que les souffrances appartiennent à tous les hommes et non aux seuls gouvernements qui les abritent, les dissimulent ou les engendrent. (...) » B. K.
Jack Lang
Un nouveau régime politique pour la France
C’est en sa double qualité d’homme politique mais aussi de professeur agrégé de droit que Jack Lang appelle, dans ce livre, à l’urgence d’une nouvelle donne constitutionnelle pour la France.
Maurice Rheims
Crise mine
« D’où vient la crise actuelle ? [...] De la rue au musée, de l’art à la vie quotidienne, elle montre ses visages souvent inquiétants, parfois cocasses. » M. R.
Michèle Alliot-Marie
Le Chêne qu'on relève
« La politique est d’abord un engagement : au service de la France et de l’équilibre mondial conforme à nos valeurs humanistes. C’est elle qui crée ce lien sans lequel les sociétés n’ont plus d’avenir. [...] » M. A.-M.