Catalogue Tous les ouvrages
Paul Bernard
Au nom de la République
« Devenir préfet, c’est exercer un métier aux exigences et aux responsabilités souvent méconnues. C’est également accepter une mission : celle de représenter la République. C’est enfin l’adapter aux contradictions du monde actuel. » P. B.
Jean Bernard
Le Sang des poètes
« Ma vie scientifique a eu pour premier et constant motif le sang, sa naissance, ses fonctions, ses maladies, ses changements. Le jour, j’étudiais les globules, les sérums. Le soir, je lisais ou relisais les poètes. (...). » J. B.
Jean Bernard
Le jour où le temps s'est arrêté
« Le temps fuit, irréparable. Il ne peut être immobile. Lorsqu’il s’arrête, c’est l’achronie. » À mi-chemin entre science-fiction et conte philosophique, cette fable illustre les méditations d’un grand savant – doublé d’un homme de culture – sur la place de l’homme dans l’univers.
Mathias Bernard
La Guerre des droites De l’affaire Dreyfus à nos jours
De l’affaire Dreyfus aux années 1930, de Vichy à la guerre d’Algérie, de l’irruption du Front national à la présidentielle de 2007, la pluralité et l’affrontement des traditions de droite seraient-ils des traits structurants de la vie politique française ?
Jean Bernard
C'est de l'homme qu'il s'agit
La vie, la carrière d’un grand savant qui contribua à la renaissance de la recherche médicale en France et participa à l’une des aventures scientifiques les plus importantes de notre siècle : l’exploration du sang.
Louis Bergeron
Les Industries de luxe en France
Cette histoire sociale du luxe est une véritable coupe transversale, de l’atelier familial et artisanal au grand groupe intégré, une histoire industrielle, mais aussi une histoire d’hommes.
Jean Bergeret
Les Toxicomanes parmi les autres
« Jean Bergeret ose affirmer que la toxicomanie n'existe pas, qu'il s'agit de la fabrication d'un mythe dangereux pour soi-même et pour autrui (...) » Docteur Claude Olivenstein
Karine Berger, Manuel Alduy, Caroline Le Moign
La Culture sans État De Modiano à Google
Jamais comme aujourd’hui la culture n’avait été livrée aux forces du marché. Devenues un produit d’appel pour les géants numériques (Amazon, Google, Apple), les œuvres culturelles se consomment, se répliquent, se « streament »… au point de perdre ce qui fait leur singularité. Quant à l’État, il a tout simplement démissionné face à l’ouragan numérique.